Les premières chaleurs estivales s'annoncent, et déjà j'observe des psylles de la nouvelle génération. Nous sommes dans le même timing que l'année dernière dans la région de Montpellier.
La question va donc à nouveau se poser sur le risque que des insectes restent longtemps sur place avant de migrer vers leurs zones refuges (conifères). En effet, des insectes porteurs du phytoplasme qui resteraient 3 semaines-1 mois sur place auraient alors le potentiel d'être infectieux. Cependant, les modèles de dynamique des populations actuels confortent l'idée que les psylles migrent quelques jours après leur émergence, ce qui écarte l'hypothèse d'une contamination en verger d'arbre en arbre, depuis un arbre infecté.